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EPTB Seine Grands Lacs est un établissement public territorial de bassin créé en 1969 sous le nom d'Institution interdépartementale des barrages-réservoirs du bassin de la Seine. Regroupant les départements de l'ancienne Seine, il assure la mission d'écrêter les crues d'hiver et de printemps de la Seine et de ses principaux affluents (l'Yonne, la Marne et l'Aube) et de soutenir leurs débits en été et en automne. L’EPTB Seine Grands Lacs agit dans le cadre du plan Seine en faveur de la réduction de la vulnérabilité des territoires aux inondations.

EPTB Seine Grands Lacs

Logo de l'EPTB Seine Grands Lacs».
Administration
Pays France
Subdivision Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne
Divers
Site officiel www.seinegrandslacs.fr

Il s'appelait autrefois Grands lacs de Seine. Par extension, le terme « grands lacs de Seine » évoque également l'ensemble des lacs artificiels, situés en Bourgogne et Champagne-Ardenne, construits et gérés par cet établissement. Leur superficie totale est de 101 km2, ce qui équivaut à celle de la ville de Paris[1]. L'EPTB Seine Grands Lacs œuvre à la réalisation d'un projet de nouvel ouvrage dans le secteur de la Bassée (Seine-et-Marne), destiné à compléter le dispositif de protection contre les inondations et à réduire les dommages prévisibles liés à ces phénomènes.


Historique


La gare de Paris-Saint-Lazare pendant la crue de 1910.
La gare de Paris-Saint-Lazare pendant la crue de 1910.

Avant l'IIBRBS


En janvier 1910, une crue de la Seine inonda de nombreuses rues parisiennes et 20 000 immeubles, touchant environ 200 000 habitants de la ville. Le 22 janvier, le métro parisien fut à son tour sous les eaux. La Seine mit 45 jours à retrouver son niveau normal. Les dégâts s'élevèrent à 400 millions de francs-or[2]. À la suite de cette crue et de celle de 1924, qui toucha aussi Paris et son agglomération, ainsi que des sécheresses des années 1920, l'État et le département de la Seine décidèrent d'aménager la Seine et ses affluents en amont de la capitale, pour réguler le cours du fleuve.

Ainsi, en 1949, fut mis en service le premier « grand lac de Seine », le lac de Pannecière, sur l'Yonne. En 1966, alors que le lac-réservoir Marne était en cours de construction, le lac d'Orient ou lac-réservoir Seine fut inauguré à proximité de Troyes, en Champagne humide. C'était alors le département de la Seine qui gérait ces trois lacs et leur construction[3].


La création de l'institution


Carte du bassin versant de la Seine et des grands lacs de Seine.
Carte du bassin versant de la Seine et des grands lacs de Seine.

Le , à la suite de la disparition du département de la Seine survenue un an plus tôt, un arrêté ministériel crée officiellement l'« Institution interdépartementale des barrages-réservoirs du bassin de la Seine » (IIBRBS). Cet établissement public de bassin est désormais géré par les conseils généraux des quatre départements issus de celui de la Seine : celui de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il a donc pour vocation de renforcer les débits de la Seine et de ses affluents lors de l'étiage (pour assurer les ressources en eau nécessaires à l'agglomération parisienne[4]) et de protéger l'Île-de-France des inondations au moyen de lacs-réservoirs, dont il s'occupe[3].


Depuis 1969


L'année 1974 fut marquée par l'inauguration du lac du Der-Chantecoq (lac-réservoir Marne), qui devint le plus grand lac artificiel de France. Entre 1989 et 1990, le lac Amance et le lac du Temple, en dérivation de l'Aube, furent mis en eau.

De nos jours, l'organisme est financé à 50,02 % par la municipalité de Paris et à hauteur de 16,66 % pour chacun des trois autres départements de la petite couronne. Il est dirigé par un conseil d'administration composé de 24 membres (12 pour Paris, 4 pour les Hauts-de-Seine, 4 pour la Seine-Saint-Denis et 4 pour le Val-de-Marne), désignés par les conseillers généraux de ces départements. L'institution est présidée de 2001 à 2012 par Pascal Popelin, alors premier adjoint au maire de Livry-Gargan et vice-président du conseil général de la Seine-Saint-Denis[4]. Elle emploie 130 agents, essentiellement affectés à l'entretien des ouvrages[3].

En 2011, l'IIBRBS devient l'Établissement public territorial de bassin (EPTB) Seine Grands Lacs[5]. En 2012, Pascal Popelin quittant le Conseil général, il est remplacé à la présidence par le conseiller général Frédéric Molossi[6]. Le président Molossi a été réélu Président de l'EPTB Seine Grands le 11 juin 2014.


Les lacs-réservoirs


Liste des lacs-réservoirs gérés par l'EPTB Seine Grands Lacs, dans l'ordre chronologique de leur construction.

Le lac de Pannecière et son barrage.
Le lac de Pannecière et son barrage.

À noter que les réservoirs du Crescent et de Chaumeçon sont mis par EDF à la disposition de l'institution[1].


Lac-réservoir de Pannecière


Article détaillé : Lac de Pannecière.

Le « lac de Pannecière » ou « lac de Pannecière - Chaumard-sur-l'Yonne » est le premier des grands lacs de Seine à avoir été construit ; il fut inauguré en 1949. Il résulte de la fermeture de la vallée de l'Yonne par un barrage à voûtes multiples[note 1] et constitue le seul lac bourguignon à être géré par l'EPTB. Il se situe à la confluence de l'Yonne et de l'Houssière, dans le département de la Nièvre, non loin de la ville de Château-Chinon[7]. Avec ses 5,2 km2 de superficie et ses 82,5 millions de m3 de capacité, il est le plus grand des grands lacs morvandiaux[8]. Il fait également partie du parc naturel régional du Morvan[9].


Lac-réservoir Seine


Vue sur le lac d'Orient et sa forêt.
Vue sur le lac d'Orient et sa forêt.
Article détaillé : Lac d'Orient.

Le « lac d'Orient » ou « lac-réservoir Seine » est situé dans l'Aube, en Champagne-Ardenne, à une douzaine de kilomètres de Troyes. Grâce à ses 23 km2 de superficie et ses 205 millions de m3 de capacité normale[10], il est le troisième plus grand lac artificiel de France, après le lac du Der-Chantecoq et le lac de Serre-Ponçon et devant le lac de Sainte-Croix. Autrefois appelé « lac de Lusigny » ou encore « lac de la forêt d'Orient », il fut construit pour réguler directement la Seine. Il est mis en service en 1966, devenant ainsi le second grand lac de Seine[11]. De nos jours, le lac fait partie du parc naturel régional de la forêt d'Orient, forêt d'où provient son nom[12].


Lac-réservoir Marne


Le lac du Der vu depuis une digue.
Le lac du Der vu depuis une digue.
Article détaillé : Lac du Der-Chantecoq.

Le « lac du Der-Chantecoq » ou « lac-réservoir Marne » (souvent abrégé en « lac du Der ») est le troisième lac construit par l'institution ; il est ainsi inauguré en 1974[13]. Il est situé en Champagne-Ardenne, à la limite des départements de la Marne et de la Haute-Marne. En dérivation de la Marne et d'un de ses affluents, la Blaise, le lac doit son nom à la fois au pays du Der, région naturelle où il est implanté, et au village de Chantecoq qui fut détruit avec ceux de Champaubert-aux-Bois et Nuisement-aux-Bois, lors sa création[14]. Sa capacité nominale est de 350 millions de m3. Avec une superficie de 48 km2, il est le plus grand lac artificiel d'Europe, en excluant les lacs de barrage. Il est par ailleurs le plus grand lac artificiel de France, toutes catégories confondues[15].


Lac-réservoir Aube


Article détaillé : Lacs Amance et du Temple.

Le « lac-réservoir Aube » est en réalité composé de deux lacs reliés par un canal de jonction : le « lac Amance » et le « lac du Temple ». Le premier tire son nom de la rivière qui le traverse et le second doit le sien aux Templiers, qui possédaient des terres dans la région. Ils se situent eux aussi dans le département de l'Aube. Tandis que le lac Amance, à l'est, est dédié au motonautisme[16], le lac du Temple, à l'ouest, est quant à lui abandonné à la découverte de la nature[17]. Avec leur capacité normale de 170 hm3 et une superficie totale de 23,2 km2, ils pourraient, s'ils formaient un unique lac, être le troisième plus grand lac artificiel de France, au même niveau que le lac d'Orient[18] ; ils font également partie du parc naturel de la forêt d'Orient. Ils furent mis en eau en 1990, ce qui fait d'eux les derniers lacs de Seine construits[19].


Fonctionnement des lacs


Les quatre grands lacs de Seine fonctionnent de la même manière. En hiver et au printemps (de novembre à juin), les lacs-réservoirs sont progressivement remplis, grâce aux canaux d'amenée ou au barrage, puisqu'à ces périodes les rivières sont au plus haut. Des prélèvements supplémentaires sont opérés en période de crues, on limite ainsi les inondations : c'est l'« écrêtement des crues ». De juillet à octobre a lieu le « soutien d'étiage » : lorsque, durant l'été, les cours d'eau sont à leur niveau le plus bas, l'eau contenue dans les lacs leur est restituée. Cette vidange peut se prolonger sur le mois de novembre et décembre en cas de sécheresse exceptionnelle. Au 1er novembre, les lacs sont presque vides : il n'y reste que la « tranche morte », la quantité d'eau nécessaire à la survie des poissons dans les lacs et la « tranche de réserve », prévue en cas d'étiage important aux mois de novembre et décembre. Le volume de chacun des lacs-réservoirs dépend de l'importance des crues et des sécheresses[20]. En cas de sécheresse en hiver, les lacs peuvent être amenés à réduire fortement leurs prises, effectuant un compromis avec la nécessité de stocker de l'eau pour l'été[21]


Résultats



Impact sur les crues et l'étiage


Pendant six ans, de 1992 à 1998, l'IIBRBS, en partenariat avec l'État, la région Île-de-France et l'Agence de l'Eau Seine-Normandie, a réalisé une étude pour estimer les dommages engendrés par une importante crue de la Seine dans la région et rendre compte de l'action des lacs dans ce cas.

D'après cette étude, les grands lacs permettraient pour une crue comme celle de 1910 de réduire de 60 cm l'eau à Paris, ce qui aurait comme conséquence financière de réduire le montant des dégâts à 8,4 milliards d'euros au lieu des 12,2 milliards d'euros estimés. Ils représenteraient donc une économie d'environ 4 milliards d'euros. Cependant, d'une part les dépenses liées à la construction des lacs ne sont pas ici prises en compte et, d'autre part, les lacs-réservoirs ne peuvent en aucun cas éviter les crues, seulement les amoindrir. Leur action n'est donc pas suffisante, d'autant plus que les bassins actuels n'influent que sur environ 17 % du bassin de la Seine en amont de la capitale. Enfin, l'Yonne, qui est l'affluent réputé le plus indomptable, est aussi le plus faiblement contrôlé par le dispositif[22].

En 1995, une autre étude menée par l'IIBRBS et l'Agence de l'Eau Seine-Normandie a démontré que sans les lacs-réservoirs, l'Île-de-France serait confrontée à des pénuries en eau potable, plusieurs jours par an. Toujours d'après cette étude, les pénuries seraient plus fréquentes sur la Marne. Pourtant, comme pour la régulation des crues, le « soutien d'étiage » ne ferait pas disparaître les effets d'une très grande sécheresse et son action pourrait diminuer en cas de forte hausse des besoins, de baisse de la qualité des ressources ou d'importante pollution ayant des effets à long terme. L'augmentation du nombre de lacs-réservoirs amoindrit donc le danger d'un stockage insuffisant, d'où la création assez récente du lac-réservoir Aube[23].


Impact sur l'environnement


Un observatoire sur le lac du Der.
Un observatoire sur le lac du Der.

L'environnement a été profondément transformé par la construction des ouvrages, le paysage aussi : de nombreux hectares de forêt furent détruits pour implanter les lacs. Ils modifient le régime hydraulique des rivières, rendant impossibles certaines crues au printemps, pourtant indispensables à la reproduction du brochet. D'autre part, le lac de Pannecière empêche la libre circulation des truites et limite donc leur reproduction en aval du barrage durant l'hiver. Cependant, leur « qualité écologique » a fait d'eux un lieu de passage important de la grue cendrée et d'autres espèces d'oiseaux lors de leur migration[24].

Les trois lacs de Champagne-Ardenne sont reconnus depuis 1991, à travers le site des étangs de la Champagne humide, par la convention de Ramsar[25]. Ils font également partie des zones de protection spéciale du réseau Natura 2000 du « Lac du Der »[26] ou des « Lacs de la forêt d'Orient »[27]. Ces derniers se trouvent sur le territoire de la Réserve naturelle nationale de la forêt d'Orient[28]. Par ailleurs, chaque année, plus de 1,5 million de visiteurs fréquentent les grands lacs de Seine et leurs infrastructures, comme les ports de plaisance, les pistes cyclables, les parcours de randonnée, les plages aménagées ou encore les observatoires[1].


Projets


Les zones humides de la Bassée.
Les zones humides de la Bassée.

Comme le prévient le titre d'un livre de Pascal Popelin, ancien président de l'institution, « un jour l'eau reviendra ». Dans l'éventualité d'une nouvelle crue d'importance, un tel phénomène toucherait directement des millions de franciliens. Pour aider les lacs qui stockent jusqu'à 830 millions de m3 d'eau, l'institution prévoit ainsi la création d'un cinquième aménagement. En effet, les lacs existants permettent d'atténuer les crues mais pas de les éliminer. Ce nouvel aménagement appelé « la Bassée » a donc pour but de parfaire l'action des quatre lacs-réservoirs. Situé en Seine-et-Marne, ce site s'étend sur 16 000 ha. Il est l'une des plus importantes plaines inondables en amont de Paris. Au stade d'étude depuis 2001, le projet est exposé en 2011 sous la forme d'un débat public. Il consiste à réaménager une plaine, en amont de Montereau-Fault-Yonne, pour y stocker temporairement 55 millions de m3 d'eau pompés dans la Seine (dont 10 millions de m3 pour le casier pilote[29]) pour réduire une éventuelle crue exceptionnelle de l'Yonne ou de la Seine. Ce projet reviendrait à 500 millions d'euros[30],[31]. Les travaux estimés des travaux du casier pilote représentent à eux seuls plus des trois quarts du montant total des 110 millions d'euros du programmes d'action de prévention des inondations[29].

Un autre projet, celui d'un « lac des côtes de Champagne », est à l'étude. Il permettrait de contrôler le bassin versant de la Saulx, en amont de Vitry-le-François. D'une superficie possible de 2 300 ha et d'une capacité d'environ 130 millions de m3, il serait construit sur le principe des autres lacs : des digues en terre entourant un plan d'eau. Cependant, ce projet ne semble pas être la priorité de l'IIBRBS qui privilégie celui de « la Bassée »[32]. Une troisième étude a été menée par l'institution pour l'éventuelle construction de nouveaux lacs-réservoirs sur certains affluents de l'Yonne[22].


Annexes



Bibliographie



Liens externes



Notes et références



Notes


  1. Les trois autres lacs établis, non pas sur les sols granitiques du Morvan mais sur les argiles de la Champagne humide, ont été obtenus par fermeture de vallées secondaires au moyen de digues en terres pour former des cuvettes en dérivation des rivières, l'eau y est acheminée par des canaux de dérivation (amenée, éventuellement jonction ou restitution).

Références


  1. « Dossier de presse sur l'inauguration des bureaux de la Circonscription Marne - Juin 2008 », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  2. Assemblée nationale, « Les crues de 1910 au Palais Bourbon » (consulté le )
  3. « Présentation de l'IIBRBS », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  4. Pascal Popelin, « Les Grands lacs de Seine et nous », (consulté le )
  5. « L'évolution des Grands lacs de Seine », sur seinegrandslacs.fr (consulté le )
  6. « Frederic Molossi président des Grands lacs », Le Parisien, (consulté le )
  7. « Lac de Pannecière-Chaumard sur l'Yonne », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  8. « Le Lac Réservoir de Pannecière », sur Panneciere.free.fr (consulté le )
  9. « Ressources en eau », sur Parcdumorvan.org (consulté le )
  10. « Le lac-réservoir Seine », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  11. Conseil général de l'Aube, « Il y a 40 ans... l'aventure du lac d'Orient » (consulté le )
  12. « Les paysages », sur Pnr-foret-orient.fr (consulté le )
  13. « Le lac-réservoir Marne », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  14. « Son histoire », sur Site officiel du Lac du Der (consulté le )
  15. LPO Champagne-Ardenne, « Le lac du Der » (consulté le )
  16. « Le Lac Amance », sur Pnr-foret-orient.fr (consulté le )
  17. « Le Lac du Temple », sur Pnr-foret-orient.fr (consulté le )
  18. « Fiche Aube », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  19. « Le lac-réservoir Aubesite=Iibrbs.fr » (consulté le )
  20. « Bulletin des crues », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  21. Sophie Fabrégat, « Premières mesures pour résorber le déficit de remplissage des lacs réservoirs de la Seine », sur actu-environnement.com, (consulté le ).
  22. « Les actions envisagées par les Grands Lacs de Seine », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  23. « La gestion de la ressource en eau : un enjeu capital pour le bassin de la Seine – Le soutien d'étiage : l'action des grands lacs de Seine », sur Iibrbs.fr (consulté le )
  24. Brigitte Lancelot, « Les grands barrages réservoirs du bassin de la Seine et leurs impacts sur l'environnement (p.6/7) » (consulté le )
  25. « Etangs de la Champagne humide », sur Les zones humides, Eaufrance (consulté le )
  26. Natura 2000, « Lac du Der FR2110002 » (consulté le )
  27. Natura 2000, « Lacs de la forêt d'Orient FR2110001 » (consulté le )
  28. « La Réserve Naturelle Nationale de la Forêt d'Orient », sur Pnr-foret-orient.fr (consulté le )
  29. « Question N° : 47146 de M. Daniel Goldberg », Assemblée nationale, (consulté le )
  30. Marie Verdier, « Paris se protège contre les inondations » (consulté le )
  31. AFPCN, « La protection et le projet de la Bassée » (consulté le )
  32. « Des projets d'aménagement plus particulièrement avancés pour faire face aux crues », sur Iibrbs.fr (consulté le )
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