La pointe de Thorens est un sommet situé dans le massif de la Vanoise, en Savoie, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, entre les communes des Belleville, d'Orelle, de Saint-André et de Modane.
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Pointe de Thorens | |
Vue du sommet depuis la limite entre Orelle et Les Belleville. | |
Géographie | |
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Altitude | 3 262 m[1] |
Massif | Massif de la Vanoise (Alpes) |
Coordonnées | 45° 15′ 53″ nord, 6° 36′ 34″ est[1] |
Administration | |
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Savoie |
Géologie | |
Roches | Conglomérats, grès et arkoses micacés, schistes (lutites et siltites), charbon (anthracite) |
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Le sommet, comme le lieu-dit ou le glacier de Thorens qu'il abrite, trouve son origine dans un nom d'homme : Taurencus (cartulaire de Cluny), Torencus (cartulaire d'Oulx, 1153) ou encore « Claude Thorens » (XVIIIe siècle)[2]. Adolphe Gros précise que le nom devrait être écrit, selon les sources, Torens[2].
La pointe de Thorens est un sommet de 3 262 m d'altitude situé aux frontières de la vallée de la Tarentaise avec la commune des Bellevile, au-dessus de la station de Val Thorens, et de la vallée de la Maurienne avec les communes d'Orelle, de Modane et de Saint-André. Cette pointe se trouve à la limite du parc de la Vanoise.
Ce sommet est principalement constitué de conglomérats, de grès et d'arkoses micacés, de schistes (principalement des lutites et des siltites), de charbon (particulièrement de l'anthracite), datant d'entre le Westphalien et le Stéphanien inférieur[3].
On peut accéder à la pointe de Thorens par le téléphérique de Thorens, à partir de Val Thorens sur la commune des Belleville, en Tarentaise. Depuis Orelle, en Maurienne, il est également possible d'emprunter la tyrolienne d'Orelle depuis la pointe du Bouchet pour atteindre le sommet[4],[5],[6].