Le mont Apica culmine à 880 m dans la réserve faunique des Laurentides, dans le territoire non organisé de Mont-Apica, dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Lac-Saint-Jean-Est, dans la région administrative du Saguenay–Lac-Saint-Jean, au Québec, Canada[1].
Pour les articles homonymes, voir Apica.
Ne doit pas être confondu avec le territoire non organisé de Mont-Apica
Mont Apica | |
![]() Sommet du mont Apica | |
Géographie | |
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Altitude | 880 m |
Massif | Massif du lac Jacques-Cartier (Laurentides) |
Coordonnées | 47° 58′ 40″ nord, 71° 25′ 50″ ouest |
Administration | |
Pays | ![]() |
Province | Québec |
Région | Saguenay–Lac-Saint-Jean |
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Le toponyme « mont Apica » a été officialisé le à la Banque des noms de lieux de la Commission de toponymie du Québec[2].
Le sommet de la montagne est situé à 2,2 km au nord-ouest du centre du village de Mont-Apica, à 1,0 km au sud-ouest de la route 169, à 1,6 km au sud-ouest du cours de la rivière Chicoutimi et à 2,0 km à l'est du cours de la rivière aux Canots Est[1].
Un radar météorologique a été en opération au sommet du mont Apica (47° 59′ 00″ N, 71° 26′ 00″ O) servant également à l'anticipation des précipitations. Cette station météo servait autant pour la base de Bagotville que pour le Service météorologique du Canada. Après la fermeture du centre, tous les radars ont été transférés au site du lac Castor (48° 34′ 33″ N, 70° 40′ 04″ O) à 35 km de la BFC Bagotville, au nord de la rivière Saguenay[3]. Le radar météorologique fait partie du réseau canadien de radars météorologiques mais sous propriété des Forces armées. En 1999, lors d'une campagne de modernisation du réseau, il a été le second radar du réseau à suivre une cure de rajeunissement grâce à la notoriété du déluge du Saguenay de 1996.
La station météorologique du mont Apica est l'un des endroits qui a reçu le plus de neige, 80,2 cm, lors de la tempête de neige du 3 au 5 mars 1971 sur l’est du Canada communément appelée la « tempête du siècle au Québec ».