L'évolution du point culminant de la Russie suit l'évolution des connaissances géographiques et du territoire national sur le point culminant de la Russie.
Cet article est une ébauche concernant la Russie et la montagne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires. (modifier l'article).
La principauté de Moscou (1263-1328) recouvre l'oblast de Moscou dont le point culminant est la crête de Klin-Dmitrov à 300 m d'altitude[1].
En 1533, la principauté de Moscou s'étend jusqu'à l'Oural pré-polaire où se situe le mont Narodnaïa à 1 894 m d'altitude.
En 1773, la Russie signe le traité de Koutchouk-Kaïnardji, qui lui attribue les territoires correspondant à l'Elbrouz à 5 642 m.
De 1730 à 1863, la Russie envahit le territoire correspondant à l'actuel Kazakhstan. Le Khan Tengri devient le point culminant de l'empire Russe avec 7 010 m d'altitude.
Début 1991, le point culminant de l'Union soviétique est le pic du Communisme à 7 495 m.
Le , le Tadjikistan déclare son indépendance de l'Union soviétique[2]. Le point culminant devient le Khan Tengri à 7 010 m.
Le , le Kazakhstan quitte l'Union soviétique[3]. Le point culminant devient l'Elbrouz à 5 642 m.